Mes devises
- L’approche pragmatique des projets et problèmes des clients.
- Le temps est de l’argent. Un conseil préalable est un investissement financier : vous gagnez du temps avant toute réalisation et vous en perdez considérablement moins en procédure.
- L’avocat fait fonction d’assurance : le coût de vos propres fautes dans la conception d’un projet ou la solution d’un problème peut être bien plus significatif.
- Ne vous fiez pas à vos connaissances d’un système ou problématique juridique étrangère : les petites différences peuvent créer des pertes importantes
- En droit, un coup de fil préalable à un expert – sans frais chez nous - vaut mieux que des solutions intuitives
J’ai fait du droit aux Pays-Bas et en France, comme avocat (les « Big eight »), et comme dirigeant d’entreprise.
Je considère cette double expérience comme un atout appréciable, car il faut avoir été entrepreneur soi-même pour bien comprendre en quoi consiste le développement d’une activité commerciale. Et les tracas de la vie quotidienne.
J’ai également présidé le directoire d’un groupement d’intérêt public appelé aujourd’hui «Juriscope», un groupement avec des partenaires publics (ministères de la Justice et de l’intérieur, des professionnels du droit français et étrangers, mais aussi le CNED par exemple), promouvant la bonne circulation d’information juridique pointue en Europe et aux Etats-Unis.
Enfin, entre deux barreaux, M. René Monory m’a offert l’opportunité de passer deux ans au Service juridique du Parlement européen, un privilège pour ceux qui développent une clientèle internationale.
Le droit s’est développé à une vitesse immense, donc je me suis concentrée sur le droit français et mes domaines d’activité principaux : droit immobilier et construction, puis j’ai gardé certains pans du droit des affaires.
Aujourd’hui, bien faire son métier, oblige à une spécialisation dans des domaines précis et limités.
L’accès aux textes de droit étranger -grâce aux études dans divers pays et cette expérience internationale- reste cependant un avantage.
Le cabinet est situé à 10 km du centre de Narbonne, au calme et dans la verdure.
Inspirant pour tout le monde, et sans problèmes de parking !
Je considère cette double expérience comme un atout appréciable, car il faut avoir été entrepreneur soi-même pour bien comprendre en quoi consiste le développement d’une activité commerciale. Et les tracas de la vie quotidienne.
J’ai également présidé le directoire d’un groupement d’intérêt public appelé aujourd’hui «Juriscope», un groupement avec des partenaires publics (ministères de la Justice et de l’intérieur, des professionnels du droit français et étrangers, mais aussi le CNED par exemple), promouvant la bonne circulation d’information juridique pointue en Europe et aux Etats-Unis.
Enfin, entre deux barreaux, M. René Monory m’a offert l’opportunité de passer deux ans au Service juridique du Parlement européen, un privilège pour ceux qui développent une clientèle internationale.
Le droit s’est développé à une vitesse immense, donc je me suis concentrée sur le droit français et mes domaines d’activité principaux : droit immobilier et construction, puis j’ai gardé certains pans du droit des affaires.
Aujourd’hui, bien faire son métier, oblige à une spécialisation dans des domaines précis et limités.
L’accès aux textes de droit étranger -grâce aux études dans divers pays et cette expérience internationale- reste cependant un avantage.
Le cabinet est situé à 10 km du centre de Narbonne, au calme et dans la verdure.
Inspirant pour tout le monde, et sans problèmes de parking !